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Voici l’âge maximum que l’être humain peut atteindre, selon la science (et c’est un peu décevant)

Non, on n’est pas destiné à être immortel.

Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie.

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Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie

Une étude a tenté de déterminer l’espérance de vie ultime que nous pourrions atteindre, nous, les humains.

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Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie

Des chercheurs ont identifié « deux marqueurs de vieillissement, l’âge biologique, qui dépend des modes de vie, des maladies chroniques et des tensions subies par l’organisme, et la résilience, c’est-à-dire la capacité du corps à se remettre de problèmes de santé ».

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Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie

Peut-on vivre éternellement ? Non. Selon leur étude, la limite se situe entre 120 et 150 ans.

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Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie

Si on parvient à éviter des maladies (cancer, maladies cardiaques par exemple) – ou tout accident mortel ! – notre corps déclinera quoi qu’il en soit à un point tel qu’il sera incapable de lutter contre les menaces quotidiennes, comme les bactéries et les virus.

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Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie

Les efforts visant à prolonger la vie humaine, ou à atteindre l’immortalité, restent quand même l’une des priorités de la Silicon Valley, avec des entreprises qui cherchent à inverser le déclin naturel résultant du vieillissement.

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Il y a une limite à tout, et surtout à notre espérance de vie

Selon les Nations Unies, grâce aux progrès de l’alimentation et de la médecine, la population mondiale centenaire, actuellement d’environ 450.000 personnes, passera à 25 millions d’ici 2100.

08 – 09

Who want to live forever ?

Tout le monde n’est pas Highlander…

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Jeanne Calment, celle qui détient le record du monde

Le record de longévité est détenu par la Française Jeanne Calment, décédée en 1997 à l’âge honorable de 122 ans.

On va peut-être vous décevoir mais il va falloir vous faire à cette triste idée : vous n’êtes pas immortel·le et vous ne le serez (sans doute) jamais. C’est le constat, un peu amer diront certain·e·s, fait par des chercheurs de Gero (une société spécialisée en biotechnologie) qui ont tenté de déterminer l’espérance de vie ultime que nous pourrions atteindre, nous, les humains. Peut-on vivre éternellement ? Non. Selon leur étude, la limite se situe entre 120 et 150 ans.

Espérance de vie : l’éternité, ce n’est pas pour tout de suite

Pour parvenir à cette conclusion, une étude a été menée auprès d’adultes aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Russie, ce qui leur a permis d’identifier « deux marqueurs de vieillissement, l’âge biologique, qui dépend des modes de vie, des maladies chroniques et des tensions subies par l’organisme, et la résilience, c’est-à-dire la capacité du corps à se remettre de problèmes de santé », résume CNews. Et c’est ce second élément qui leur a permis d’affirmer que « la fin de vie est une propriété biologique intrinsèque d’un organisme » et « signifie une limite fondamentale ou absolue de la durée de vie humaine ».

Ce qu’il faut donc comprendre, c’est que si on parvient à éviter des maladies (cancer, maladies cardiaques par exemple) – ou tout accident mortel ! – notre corps déclinera quoi qu’il en soit à un point tel qu’il sera incapable de lutter contre les menaces quotidiennes, comme les bactéries et les virus. De là, les chercheurs, bien aidés par une intelligence artificielle, en ont déduit que la durée de vie maximale de l’homme se situe quelque part entre 120 et 150 ans.

Le record de longévité est détenu par la Française Jeanne Calment, décédée en 1997 à l’âge honorable de 122 ans. Comme le rappelle Metro UK, les efforts visant à prolonger la vie humaine, ou à atteindre l’immortalité, restent quand même l’une des priorités de la Silicon Valley, avec des entreprises comme Calico de Google et la startup Unity Biotechnology, soutenue par Jeff Bezos et Peter Thiel, qui cherchent à inverser le déclin naturel résultant du vieillissement. Et selon les Nations Unies, grâce aux progrès de l’alimentation et de la médecine, la population mondiale centenaire, actuellement d’environ 450.000 personnes, passera à 25 millions d’ici 2100.

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